𝐘𝐯𝐞𝐬 𝐂𝐚𝐫𝐚𝐠𝐥𝐢𝐨 (2014) – 𝐀𝐧𝐚𝐥𝐲𝐬𝐞 𝐚𝐫𝐜𝐡𝐢𝐭𝐞𝐜𝐭𝐮𝐫𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐮 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐯𝐢𝐞𝐢𝐥 𝐚𝐫𝐛𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐏𝐚𝐫𝐢𝐬 – 𝐋𝐞 𝐫𝐨𝐛𝐢𝐧𝐢𝐞𝐫 𝐬𝐢𝐭𝐮é 𝐚𝐮 𝐬𝐪𝐮𝐚𝐫𝐞 𝐕𝐢𝐯𝐢𝐚𝐧𝐢, 𝐏𝐚𝐫𝐢𝐬 5è𝐦𝐞. Yves Caraglio (UMR - Unité mixte de recherche, AMAP - Botanique et Modélisation de l'Architecture des Plantes et des Végétations, CIRAD, Montpellier) à la demande de la Ville de Paris.
Partagé avec l'aimable autorisation de Béatrice Rizzo (Ingénieure Expert en charge de la Cellule Expertises Arboricoles, Service de l'arbre et des bois de la Ville de Paris).
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𝐐𝐮𝐞𝐥𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐞𝐱𝐭𝐫𝐚𝐢𝐭𝐬 :
« Le tronc est mort en grande partie, quelques zones sont encore actives en termes de production de bois et liber. Tout le houppier fonctionnel actuel a pour origine la mise en place et la succession de structures (tiges) tardives (processus dit de réitération tardive), deux axes, supports de l’ensemble du feuillage, sont visiblement des restes de l’infrastructure d’origine (structures dites séquentielles car mises en place au cours du développement du jeune arbre). L’ensemble des tiges du houppier présente une orientation générale oblique à horizontale. Les axes colonisateurs verticaux sont très rares et cette orientation verticale est éphémère (une à deux années maximum). La plante est en phase de dislocation du houppier, ce qui n’a rien d’étonnant vu son âge calendaire. »
« Dans l’individu observé, il n’y a que très rarement des rameaux latéraux mis en place, quand ils existent : il s’agit de structures latérales courtes à durée de vie brèves (2 à 4 ans) sans fort développement et exprimant rapidement la floraison. »
« Distribution inhomogène de la fructification dans le houppier. Les axes situés en regard de la facade de l’église sont fortement sexualisés. Si les points de floraison sont nombreux et donnent une fructification abondante, le nombre et la dimension des graines indiquent que cet arbre n’est plus en capacité de se reproduire (quelques graines peuvent arriver à maturité mais pas l’ensemble). »
« Actuellement toutes les structures d’origine et de réparations du tronc sont mortes à l’exception d’un cordon [...] qui se renfle à la base (problème de progression partie souterraine…) et qui assure la conduction entre la cime basse vivante et les racines. »
"La structure globale réagit aussi par la mise en place de drageons (tiges développées sur les racines) et de rejets de pied. »
« La structure globale réagit aussi par la mise en place de drageons (tiges développées sur les racines) et de rejets de pied. »
« L'individu n’est plus en capacité de réparer et restructurer. »
« La structure de son houppier dans les années 1900 et sa croissance depuis lors permettent de poser l’hypothèse d’un individu de 200 ans dérivant déjà de l’individu du départ par rejet basal ou drageon. »
-Yves Caraglio, 2014
- Yves Caraglio, 2014
資料來源:
David S. Restrepo
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